• UNE GIFFLE MAGISTRALE !!!

    Grèce : « la victoire de Syriza ouvre la voie au changement en Europe » (Pierre Laurent)

     

    Avec la victoire de Syriza, le peuple grec vient de retrouver sa dignité et d'écrire une page historique. Déjouant toutes les pressions, les menaces et les tentatives de divisions, les Grecs se sont exprimés avec force pour affirmer leur souveraineté et montrer qu'il existe une autre voie en Europe que celle de la dictature des marchés et de l'austérité. Ils ont affirmé leur refus de l'extrême droite xénophobe et raciste, ils ont affirmé leur volonté d'une Grèce de justice sociale et de solidarité.

    La participation de 75 % et le score de Syriza, entre 37 et 39 % à cette heure, montrent un choix clair pour le pays et pour l'Europe.

    La victoire de Syriza ouvre la voie du changement en Europe. François Hollande a raté le rendez-vous de l'histoire d'une réorientation de la construction européenne en 2012 ; l'espoir désormais vient d'Athènes.

    Le Parti communiste français appelle le peuple français et tous les Européens à soutenir le peuple grec et son gouvernement, et à se saisir de ce moment pour porter des solutions alternatives aux politiques nationales austéritaires et à la construction européenne actuelle.

    En France, c'est possible aussi. Toutes les forces anti austérité de gauche et écologiste doivent se rassembler pour construire une alternative politique sociale et écologique dans notre pays.

     

    Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français, président du Parti de la gauche européenneUNE GIFFLE MAGISTRALE !!!

     


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    HOMMAGES !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Pierre Laurent : « Contre la haine, nous visons l’unité populaire pour les libertés »

    « Contre la haine, nous visons l’unité populaire pour les libertés » Le PCF a décidé de faire de ses traditionnels voeux une soirée d’hommage à Charlie Hebdo et à son esprit avec les familles de certains de ses caricaturistes. Pierre Laurent devait y prononcer un discours invitant à « rester Charlie » en refusant l’union sacrée comme la guerre.

    Place du Colonel-Fabien, à Paris, l’heure était encore au recueillement hier soir. Au siège du PCF, les traditionnels voeux de début d’année devaient ainsi se transformer en « une soirée placée sous le signe de la paix et de la fraternité », en un moment d’hommage aux victimes des attentats. Parmi eux, certains étaient des amis, des compagnons de route de longue date. C’est en présence des familles de Charb, Wolinski et Tignous mais aussi de membres de l’équipe de Charlie Hebdo comme Patrick Pelloux, que le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, devait prononcer son discours.

    « Ce soir, nous les communistes, nous pleurons des amis proches, des camarades de combat, qui donnaient souvent par leurs dessins bien plus de force que n’en sont capables nos discours », devait-il saluer alors que les murs du conseil national du PCF avaient été couverts des toiles que Charb, Tignous, Coco avaient réalisées en direct au stand national des communistes de la Fête de l’Humanité 2013 avec Lardon, Louison, Lulu Inthesky et Duchemin. Et le dirigeant communiste de se remémorer l’un ou l’autre de ces souvenirs : « Je n’oublierai aucune de nos rencontres, Charb, mon camarade. Surtout pas celle, traditionnelle, de la Fête de l’Humanité, où tu voulais toujours qu’on fasse une photo, toi le poing levé, à côté du chef du parti, ton “patron” me charriais-tu, histoire que personne n’oublie où était ton coeur de combat », devait-il raconter.

    « Et maintenant ? Si nous sommes Charlie, il faut que nous poursuivions l’esprit de Charlie Hebdo », prévenait l’invitation à cette soirée qui mêlait hommage et voeux d’avenir commun. Recueillement donc. Mais aussi détermination. Détermination à « nourrir l’émotion de la réflexion ». « Ce n’est pas Charlie qui sentait le soufre, c’est notre monde. Ne regardons pas ce qui s’est passé comme un événement isolé », a invité Pierre Laurent, citant quelques-uns des événements des « quinze derniers jours » : « un grillage qui cerne un banc public », les « bateaux de migrants » laissés à l’abandon, « le refus d’inhumer un bébé rom », la « médiatisation à outrance du livre de Houellebecq »… Autant d’éléments de ce « climat nauséabond » duquel il faudrait se « désintoxiquer » en conjuguant dans « la République la liberté avec plus de fraternité et de justice sociale ». « Ce que nous visons, c’est une “unité nationale des citoyens” » Au lendemain de « l’extraordinaire riposte du peuple français » avec les marches de ce week-end, il s’agit pour le sénateur de Paris de « conforter cet élan, car l’attaque contre les libertés va reprendre très vite ».
     
    C’est cet élan populaire, entre « hommage », « attachement à la liberté de la presse » et « volonté de vivre ensemble », que le dirigeant communiste a tenu à saluer car cette mobilisation « n’allait pas de soi » dans un contexte où « les déclarations racistes de responsables politiques se banalisent ». Loin des tentatives « d’instrumentalisation déjà à l’oeuvre », le message de Pierre Laurent devait être clair : « Ce que nous visons, c’est une “unité nationale des citoyens”, une affirmation populaire commune pour les libertés, contre la haine, la violence, les racismes et les discriminations, et non “une union sacrée des partis”, qui n’existe d’ailleurs pas. Entre citoyens comme entre partis, nous voulons le libre débat démocratique, républicain. Ni l’union sacrée, ni la guerre. »
    D’ailleurs, « l’attitude déshonorante qui a été celle du Front national » devait être fustigée par le secrétaire national du PCF. À l’heure où l’ancien président UMP Nicolas Sarkozy entonne le refrain de la « guerre de civilisations » et où le premier ministre actuel, Manuel Valls, évoque de plateau télé en studio de radio un « ennemi de l’intérieur », c’est à « rester Charlie » aujourd’hui et demain qu’a invité Pierre Laurent. Et « rester Charlie », devait détailler le sénateur PCF, c’est refuser « un Patriot Act dans lequel la République perdrait son âme », c’est apporter « les moyens (à la presse) de résister à cette dictature financière qui a démoli en quelques décennies nombre de titres de la presse française », c’est « défendre (la culture) contre les politiques d’austérité et contre le Medef » et « des services publics qui font eux aussi le ciment de notre République », « c’est accueillir les étrangers menacés dans leurs pays en accordant le droit d’asile »…
     
    Alors que la marche de Paris a également réuni des « chefs d’État dont la responsabilité dans l’engrenage des guerres et du choc des civilisations est évidente », et tandis que le débat à l’Assemblée nationale doit s’ouvrir aujourd’hui sur la poursuite de l’intervention française en Irak, la question revêt également une dimension internationale pour Pierre Laurent. « Oui, nous devons stopper la menace. Ici en France, en Europe, et au Proche-Orient. Il faut aussi pour cela que la France change de politique extérieure – car en s’arrimant à l’Otan et aux États- Unis, en tergiversant devant les intérêts de puissances régionales comme le Qatar, l’Arabie saoudite, la Turquie et Israël, la France s’interdit de jouer le rôle qui devrait être le sien comme membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU », a-t-il déclaré.
     
    Un rôle qui commencerait par « reconnaître sans plus tarder l’État palestinien » ou encore, à propos de l’Irak, à contribuer à préparer « une conférence régionale sous l’égide de l’ONU ». Choisir le chemin de la paix ou de la guerre. L’enjeu est à cette hauteur. « Dire que la France est confrontée à une guerre est extrêmement dangereux. C’est volontairement s’enfermer dans le piège tendu par les intégristes, a estimé Pierre Laurent. Eux veulent l’affrontement, nous voulons une société de liberté, de progrès, de paix. » 
     
    L'Humanité du 13/01/2015
     
    En entier ici:
     
     

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  • FOUS DE DIEU !!!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    "Nous pleurons des confrères, des collègues, des amis, des camarades"

    humanite.fr

     

     

     


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  • MAIS ON S'EN RAPPROCHE !

    En octobre le chômage a encore battu un record ! Tu parles d'une info. Après le virage qu'il aurait dû prendre il y a environ un an plus de doute possible c'est loupé. Mais M. Rebsamen prévoit un " retournement" vers la mi-2015 !! Encore un qui a des visions. A noter que c'est un sous-fifre qui l'annonce, il faut ménager le Chef, il est déjà tellement bas...

    Oh mais il ressort une vieille recette celle des emplois "aidés". Gattaz va être heureux, l'Etat (nous) paye une partie des salaires et du coup il y a du boulot !!! Bizarre non ??? Suggestion: pourquoi ne pas transformer tous les chômeurs en contrats aidés je pense que la majorité trouverait du travail; quel scoop ! Qu'en pensent Gattaz et consorts ?

    Ah ben voilà !!! On y arrive... les voilà qui manifestent, c'est le monde à l'envers, ils n'en ont donc jamais assez, 50 mds d'euros ne leur suffisent pas, il faut encore la destruction du code du Travail, la "liberté " totale de licencier (le salarié "kleenex"), réduire les salariés-es en une sorte d'esclaves modernes, le pouvoir absolu et que personne ne bouge ... enfin si mais on ne vous le dit pas. Le PCF organise cette semaine des actions pour contrer ces rapaces, mais où sont les autres ????

    Vous avez sans doute eu écho (c'est tellement discret) du rapport commandé par les ministres de l'économie français et allemand. Un vrai brûlot dont vous ne saurez pas grand chose sauf à lire la presse et les responsables du FdG. Ce qui est une gageure actuellement. Pensez donc: attaque sur le temps de travail ("assouplissement" des 35 h.), achever la "flexisécurité"...., modération salariale (moi c'est déjà fait, au 1/1/2015 ma retraite n'aura pas augmenté depuis 2 (deux) ans !), CDD et CDI dans le collimateur etc., etc...

    Ainsi dans le cadre des économies à réaliser, M. Valls, en héros, s'est vanté d'avoir tenu tête aux maires confrontés à de drastiques  coupes budgétaires grâce à sa politique, lors de leur congrès ! Quelle performance. Comment vont-ils expliquer cela à leurs administrés ???

    On croyait, en 2012, "l'accident" Sarkozy  clos ... grave erreur !! Jamais nos médias n'en ont parlé autant, tout est prétexte pour le montrer, l'interwiever etc. Sans parler du grand-guignolesque "combat" pour l'Ump. Les jeux étant fait par avance il s'agissait juste d'amuser la galerie, de tenir le bas-peuple en haleine tout en se foutant royalement de sa gueule !!! Au fait avez-vous entendu le bruit des "casseroles" que traine chacun des protagonistes ??? Moi pas ... le son a dû être trafiqué !!!

    Ah j'ai failli oublier la clique Le Pen qui bénéficie d'une bienveillance quasi surréaliste de la part des mêmes médias, vous l'avez remarqué j'espère, impossible à manquer. Intoxication à la vitesse grand V, le moindre éternuement, le moindre geste et c'est la "Une" des journaux biens-pensant, des plateaux  "télés" (Je mets des " " car elles ressemblent plus à des poubelles qu'à des médias sérieux.) etc...

    Si cette hyper promotion a pour but d'en faire un repoussoir en 2017, MM. Hollande, Valls et Cie vous vous trompez, ça ne marche plus comme ça ! Le vote utile ou de peur c'est fini.

    ALORS, LA GAUCHE, LA VRAIE, ON SE REVEILLE ??? PAS DE DISCOURS DES ACTES !!!

    FRANCROUGE.

    Après m'être un énervé... je me calme avec cette musique, les "anciens" se rappelleront !!!!!

    http://youtu.be/PScROztniRc

    http://youtu.be/NatTBbBg0lA

     


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    HARO SUR LE TGV... ET LA SNCF

     

     

     

     

     

    Voir aussi:

     

    Pourquoi tant de haine, tant de critiques, tant de mensonges envers une entreprise qui somme toute fonctionne bien au vu de sa taille ??? Est-ce parce qu’elle est (encore) une entreprise publique ?, même si certains y ont déjà introduit le ver de la privatisation. 

     

    Les coups pleuvent de tout côté à commencer par la Commission européenne, par les divers gouvernements,voici que la Cour des Comptes la charge aussi. Qui de nos jours la défend encore réellement et avec conviction : les syndicats, la CGT en tête, et le Front de Gauche avec ses diverses composantes. Mais où est passé le PS, où sont les écolos ? aux abonnés absents !!! 

     

    Ce fleuron de l’industrie, avec Alstom comme pilier, est soudain devenu la bête noire de tous les rapaces y compris Bercy. C’est le monde à l’envers alors qu’il est aussi victime à la fois de la crise, des gouvernements successifs ne remplissant pas leurs obligations et des attaques des lobbies routiers. 

     

    Rappelons à toutes fins utiles que lorsque la SNCF a été créée en 1937 ce n’était pas par conviction économico-idéologique mais tout bêtement parce que toutes les compagnies privées, sans exception, qui exploitaient les divers réseaux étaient en faillite. C’est aussi simple que ça ! Après la guerre pour remettre réseau, matériel et bâtiments en état suite aux destructions massives, il fallait du monde (jusqu’à près de 400.000 ouvriers et employés) avec certains avantages pour compenser la pénibilité du travail, car à l’époque on considérait encore le chemin de fer comme indispensable au développement du pays.

     

     

     

    CONCERNANT LE TGV :: Il est primordial de noter que ce N’EST PAS la SNCF qui a décidé sa construction et sa mise en service mais bien une décision gouvernementale (M. Giscard d’Estaing).

     

    Or le financement de ces travaux commandés par l’Etat n’était jamais à la hauteur des besoins. Ainsi une entreprise qui doit entretenir, rénover plus de 35.000 km de voies, moderniser son matériel roulant, ses gares, construire des lignes nouvelles, acheter les TGV, le tout sans s’endetter à mort, mais en plus faire des bénéfices avec des « prix bas » relève de l’impossible.

     

     

     

    Alors les solutions, sous l’œil bienveillant de l’Etat, sont toutes simples : fermetures de lignes et réduction drastique de personnel, entretien du réseau « a minima » (pudiquement appelé gestion des risques) et naturellement obligation de recourir aux emprunts massifs. Or la SNCF du fait de son état d’entreprise publique n’avait à l’époque quasiment pas de capital. Vu les sommes faramineuses à emprunter elle s’est vu obligée de recourir aux marchés financiers internationaux et donc vers les monnaies fortes (Dollar, Yen, Franc suisse, Deutsch mark etc…) Si l’on se souvient que les taux d’intérêts dans les années 70-80 frôlaient voir dépassaient les 10% vous imaginez les conséquences catastrophiques sur la dette. (Emprunter POUR PAYER LES INTERETS qui peut se le permettre ? Et pourtant !!! 

     

    Et puis Bruxelles s’en est mêlé avec la directive 91-440 : séparation au moins comptable du réseau et du matériel roulant. (Pour l’ensemble des réseaux européens.) En France nos grosses têtes ont trouvé la solution (non pas pour aider la SNCF mais pour satisfaire l’UE). On a donc crée Réseau Ferré de France (RFF) à qui on a transféré en gros les 2/3 de la dette de la SNCF pour la « gérer ». Tout devait donc baigner sauf que RFF n’avait pas de recettes lors de sa création ! 

     

    Première mesure : instauration du PEAGE, autrement dit chaque train voyageur ou fret, chaque loco, chaque rame automotrice circulant devait acquitter un péage pour rouler (péage intégralement répercuté dans les billets ou factures). En somme RFF récupérait progressivement auprès de la SNCF une part de la dette dont il avait hérité !!! Et je n’évoque même pas la « guerre » déclenchée dès l’origine par RFF se comportant en véritable ennemi de la SNCF, voyez l’ambiance !!!

     

     

     

    En somme ils ont tout changé pour ne rien changer. Les dettes (SNCF + RFF) sont toujours là, le fric manque toujours pour un fonctionnement optimal l'Etat n'ayant toujours pas rempli ses obligations. Mais on crée des « bus privés longue distance », des camions de 44 t., on abandonne l’éco-taxe etc, etc… et on veut que la SNCF fasse des bénéfices. Et quand elle en fait on s’empresse de le lui piquer sous forme d’impôts.

     

     Ce n’est plus de l’escroquerie, c’est du vol à grande échelle. 

     

    Je m’arrête là, mais il manque l’assassinat du Fret ferroviaire, l’autoconcurrence routière, l’ouverture au privé et autres joyeusetés. J’en passe et des meilleures.

     

     

     

    Francrouge.

     

    Une anecdote ? C'est M. MITTERRAND en personne qui a inauguré le 1er TGV  PARIS-LYON en 1981...

     

     

      


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  • TRANSITION ENERGETIQUE !!!!!


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  • Mon avis personnel: l' Alsace de par sa situation géographique a de tout temps été une région prospère aussi bien dans le domaine de l'agriculture que côté industriel et commercial. Il en est de même sur le plan intellectuel et universitaire. Région convoitée, elle a été le théâtre de nombreuses guerres du Moyen-Age à nos jours, d'abord entre barons, ducs, princes, évéchés etc... jusqu'aux deux conflits mondiaux.

    De nos jours on appelle ça une région "riche". Elle est aussi une des régions où le chômage est inférieur à la moyenne nationale. Ceci pour deux raisons principales. D'abord des dizaines de milliers d'Alsaciens travaillent en Allemagne et en Suisse (les Frontaliers) parce que les salaires y sont supérieurs à travail équivalent, ensuite et à l'inverse beaucoup d'entreprises étrangères investissent en Alsace parce que les salaires sont inférieurs à ceux de leur pays d'origine. Enlevons ces deux éléments et la situation deviendra catastrophique.

    Cela dit (perso je suis contre les fusions, voir communiqué ci-dessous) l' action de nos "roitelets locaux" président de région et présidents des conseils généraux en tête, est hypocrite et scandaleuse. Ils profitent d'une réforme gouvernementale que la majorité des citoyens conteste pour remettre en selle la suppression des départements refusée par référendum en 2013. Petits malins non ??? Je doute fort que la majorité des manifestants en ait saisi les véritables enjeux !!!

    Je ne peux m'empêcher de faire la comparaison avec l'Italie où la Ligue du Nord (extrême droite) réclame l'indépendance afin que le Nord riche cesse de payer pour le Sud pauvre. D'ailleurs "Alsace d'Abord", branche locale du FN était bien représenté ! De même cette manif. était aussi une occasion rêvée pour les "autonomistes" (Droite) qui avaient quasiment disparu de l'échiquier politique alsacien.

    Quelle belle réussite messieurs, je ne vous félicite pas.

    Francrouge


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    COMMUNIQUE du PCF ALSACE

    sur la Réforme territoriale

     

    La droite et ses barons cherchent à mobiliser.  Mais au service de qui ? 

    S’il est une chose que les communistes d’Alsace partagent avec celles et ceux qui ont manifesté ce samedi à Strasbourg, c’est qu’on ne leur a pas demandé leur avis sur une réforme qui engage l’avenir de chacune et chacun d’entre nous. Alors que le projet de Conseil Unique d’Alsace a été rejeté en 2013, la droite nous explique que les Alsacien-ne-s n’avaient alors rien compris et qu’aujourd’hui face au projet du gouvernement, la solution passerait bien par la fusion des départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin !

    En 2013, avec d’autres, nous communistes d’Alsace avons affirmé que le projet de Conseil Unique est dangereux pour la population, pour les travailleurs de la région, qu’il casse les solidarités et le principe d’égalité, remettant en cause la République ainsi que la démocratie locale.

    Les mêmes objectifs sous-tendent la réforme territoriale du gouvernement et le Conseil Unique.

    Les collectivités territoriales sont les premiers investisseurs du pays et ce n’est pas en les « saignant », en les supprimant ou en les regroupant en « Super-Régions » ou « Conseil Unique » que le pays et l’Alsace iront mieux, bien au contraire. 

    Le projet de conseil unique d’Alsace, tout comme la réforme territoriale du gouvernement, masque une volonté d’adapter la région à la politique d’austérité, d’adapter les structures régionales à la politique que les marchés financiers et les dirigeants européens veulent imposer aux États et aux populations.

    Il est inconcevable que les citoyen-ne-s et les élu-e-s des collectivités ne soient pas consulté-e-s sur une réforme territoriale qui bouleverserait à ce point nos institutions. Comme dans le reste du pays, les communistes d’Alsace demandent un grand débat public. Un référendum s’impose !

    Le 12 octobre 2014

    Béatrice LEJARRE - Secrétaire départementale de la Fédération du Bas-Rhin du PCF

    Aline PARMENTIER - Secrétaire départementale de la Fédération du Haut-Rhin du PCF

     

     

     


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